Les critiques universitaires et à but non lucratif des médias grand public soutiennent depuis plusieurs années que les murs payants et la hausse des prix des abonnements se traduisent par la satisfaction d’un public aisé à l’exclusion des moins riches.
Le journalisme sert de plus en plus un public plus riche et plus instruit et laisse les autres derrière lui – Poynter
